Après avoir passé 1 an à écrire et publier 52 nouvelles pour le projet Bradbury, j’ai eu envie de les regrouper en un recueil. Son titre ? « Cinquante-deux ».
C’était au départ le titre provisoire, mais au final, rien d’autre ne me convenait, et j’ai réalisé que « Cinquante-deux » décrivait bien ce qu’était ce recueil : 52 nouvelles, écrites en 52 semaines. Parfois, il n’y a pas besoin de s’arracher les cheveux, la simplicité est ce marche le mieux.
J’ai fait moi-même la couverture. Je suis partie sur plusieurs idées au départ, mais je me suis rendue compte très vite que mes compétences en Photoshop (bien que pas trop mauvaises) ne me permettaient pas de faire ce que j’avais en tête. J’ai donc planché sur une autre idée. Un bouquin, une fumée un peu mystérieuse qui fait apparaître des formes… J’aime bien ! J’y ai passé des heures et des heures, la mine de mon stylet est bien usée, j’ai un nombre incalculable de calques et mon fichier commence à peser son poids… Mais je suis arrivée à quelque chose qui me plaît. TADAM !
La mise en page est décidée. C’est quelque chose de sobre, car je n’aime pas trop les choses alambiquées, avec beaucoup d’éléments. Là, je la trouve simple et efficace. Elle ressemblera à peu de choses près à ceci (là il manque les numéros de page notamment, et dans la réalité chaque nouvelle commencera en page impaire) :
Si pour « Le dieu endormi » j’étais passée par Amazon (un peu à reculons, même si pour l’autoédition ce sont les meilleurs, c’est une évidence, et que je comprends complètement tous.tes les auteur.ices qui passent par eux), j’ai décidé de faire imprimer « Cinquante-deux » par un imprimeur breton.
Mais si avec Amazon, publier son livre sans débourser d’argent est possible, avec un imprimeur, ce n’est pas le cas : eh oui, il faut payer les exemplaires avant de les recevoir. C’est en fait une tout autre économie, une tout autre gestion. Amazon fait de l’impression à la demande et se charge de l’envoi, il n’y a donc pas de stock (mais, bien sûr, il est possible de commander des exemplaires de son propre ouvrage pour pouvoir les vendre par la suite en boutique, en librairie, en salon, etc.). En passant par un imprimeur, on commande la quantité que l’on veut, puis on stocke les bouquins, avant de les vendre par le biais que l’on souhaite.
C’est pour cette raison que j’ai décidé de faire des préventes de « Cinquante-deux ». Grâce aux précommandes, je pourrais en effet avancer tout ou une partie des frais d’impression, ce qui permettra un poids moins lourd sur mes finances.
Pour l’occasion, j’ai créé une boutique dédiée : la boutique de Leni.
Pour remercier les personnes qui me donnent un beau coup de pouce en précommandant, j’ai décidé de créer un pack exclusif à cette prévente : pour le prix du broché, j’offre un marque-page et la version ebook, en plus du recueil.
Si ça vous intéresse, n’hésitez pas à aller sur le site de ma boutique ! Et je vous remercie d’avance pour votre soutien !
Bravo pour votre démarche. Je suis curieuse de lire un passage et de connaître le prix de votre ouvrage. La couverture est géniale.
Je vous souhaite le meilleur.
Bonjour Catherine, merci beaucoup ! Je vois en même temps que vous l’avez précommandé, merci beaucoup pour votre soutien ! ❤️ La livraison est prévue pour le mois de juillet.
Toutes les nouvelles restent disponibles sur mon site (https://www.leniorso.com/projet-bradbury-ecrire-52-nouvelles-en-52-semaines/) vous pouvez déjà les découvrir tout ou en partie (ou vous laisser la surprise lorsque vous recevrez le recueil !)
Merci pour votre compliment sur ma couverture, cela me touche, car j’y ai mis du cœur et de l’ouvrage !
À bientôt !